Philippe Ep 06 : Ludo
PHILIPPE
EP 06 : LUDO
On discutait encore un moment comme ça, à poil. L'heure tournait, on parlait, on parlait. Et c'est donc là que la porte s'ouvrait sans prévenir, Alex entrait et bien sûr nous voyait. Je ne bronchais pas mais Ludo lui sursautait et poussait un cri de surprise.
Ludo : Oh mon dieux !
Moi : Mais non Ludo ! Tout va bien c'est seulement Alex !
Alex : Je vous prie de m'excuser jeune homme si je vous ai fait peur, ce n'était pas mon but mais je pensais qu'il n'y avait personne
Ludo était toujours aussi embarrassé mais Alex n'y prêtait aucune attention.
Alex : Je passais seulement voir si y avait du rangement à faire dans la chambre.
Ludo était resté assis, il avait refermé ses cuisses et mettait ses mains devant son dispositif de chasteté. Moi je rigolais.
Alex : Je ne sais pas si vous avez regardé l'heure les jeunes mais il va bientôt être le moment de passer à table
Puis ressortant de la chambre, juste avant de refermer la porte.
Alex : Pensez-vous vous habiller d'ici là ou dois-je avertir le reste de le famille que le souper sera en tenue très
décontractée ?
Je pouffais de rire mais Ludo lui ne desserrait pas les dents. Il était tout rouge de confusion.
Ludo : C'était quoi ça ?
Moi : C'était Alex, il est adorable, je le connais depuis toujours. Et tu sais c'était pas des conneries, je suis sûr que si je descendait à table comme ça on ne me dirait rien !
Ludo : Tu déconnes là ?
Moi : Tu veux qu'on essaye ?
Ludo : Non ! Pas vraiment ! Je préfère mettre une tenue plus convenable. Ou sont mes vêtements ?
Moi : Alex les aura pris pour les laver je suppose
Ludo : Il est marrant Alex, et je mets quoi sur moi alors ?
Moi : Regarde sur le lit, là il y a ce qu'il faut.
Ludo : Il y a aussi mes papiers, un peut de monnaie
C'est ce que j'avais dans mes poches !
Moi : Je te rassure, nos employés sont très discrets.
Ludo n'était pas habitué à ce genre de maison, moi je ne connaissais que ça
Finalement il s'habillait, je le regardais faire, avec le costume qu'Alex lui avait monté, il était presque plus beau qu'à poil, on ne voyait pas qu'il portait un dispositif de chasteté. Moi je prenais mon temps, il était déjà tout habillé que je n'avais pas bougé, j'étais toujours avachi sur mon fauteuil.
Ludo : Tu ne vas tout de même pas descendre à table dans cette tenue ?
Moi : J'hésite !
Ludo : J'y vais pas moi dans ce cas là !
Finalement je m'habillais, rien ne semblait prêt pour moi mais tout était dans mes armoires, parfaitement bien rangé. Il ne me fallait que quelques instants pour être dans une tenue irréprochable. Ludo avait mis une cravate, il se croyait sans doute à la fac
Je me sentais donc obligé d'en faire autant !
Dans cette maison on s'habillait pour passer à table. La tenue n'était pas aussi rigoureuse que chez moi, mes tontons étaient moins regardants, et mon grand père était cool. Je ne vous dis pas la tête qu'ils ont fait quand ils nous ont vu arriver en costume, on était tout de même les mieux habillés de toute la famille. Pendant le repas Alex venait me glisser à l'oreille : '' J'ai installé ton camarade dans la chambre en face de la tienne. Bon enfin vous ferez comme vous l'entendrez
''.
Et pendant la semaine qui a suivi, il a dormi ou mon nouveau copain a votre avis ? Son lit n'a jamais été défait et on ne nous a pas fait la moindre réflexion ! Dans ce genre de grande maison tout se sait très vite, si aucune information ne circule vers l'extérieur, à l'intérieur les informations circulent très vite. Mon grand père autant que mes oncles savaient parfaitement ce qui se passait !
Sitôt dans la chambre, on ne pouvait résister au plaisir de se faire un câlin. Ensuite je lui sautais dessus, quand ce n'était pas lui qui me sautait dessus le premier.
Ensuite avec une grande douceur et en prenant bien mon temps, je couvrais son visage de baisers, il me les rendait tous. Mes lèvres descendaient sur son cou, ses épaules, sa gorge puis sur tout son torse quand j'ouvrais sa chemise. Il avait les bras en croix, je le sentais ricaner quand je le chatouillais un peu trop. Ça me faisait sourire et je ne me calmais pas bien au contraire.
Je sentais son dispositif de chasteté qui se relevait entre ses cuisses, là, juste là dans son pantalon. Je le caressais un moment l'intérieur de ses cuisses au travers de son pantalon. Une bosse faisait pression et je devinais dans quel état il devait être. A cette époque ça m'amusait beaucoup. La frustration qu'il éprouvait le rendait plus câlin et j'en profitais.
Son corps était doux, imberbe et musclé. Il était torse nue devant moi, nu sous mes doigts, doux et ferme dans mes main, à la merci de mon plaisir. J'avais pris soin de placer sous sa tête un oreiller pour son confort. Il avait le sourire et me regardait. Je le couvrais de baisers, relevais la tête, il me regardait faire avec un léger sourire. Par moment il frissonnait de plaisir, il tremblait de désir. De désir qu'il ne pouvait pas prendre mais seulement donner et éventuellement recevoir.
Au moment ou j'allais ouvrir son pantalon il posait sa main sur la mienne. '' Non
Pas maintenant ! ''. Il se relevait brusquement. A son tour il couvrait mon visage de baisers, je fermais les yeux et le laissais faire. Il me retirait ma cravate, ouvrait ma chemise et comme je l'avais fait quelques instant plus tôt couvrait mon corps de baisers et de caresses.
Je ne faisais pas comme lui, il s'était laissé faire. Moi je le caressais, ses cheveux, ses épaules, les bras et si un morceau de peau passait à la portée de mes lèvres, j'en profitais pour l'embrasser. Baiser de mes lèvres, caresses douces, chaudes et humides du bout de ma langue. Il gémissait, je veux dire, il gémissait également
La encore contrairement à lui au moment ou il arrivait à ma ceinture, au moment ou il voulait ouvrir mon pantalon, non seulement je le laissais faire mais je soulevais mon bassin pour l'aider à me retirer mon pantalon. Ma queue se relevait et venait frapper mon ventre. Je sentais sa langue la caresser depuis la base, un peu depuis mes couilles jusqu'à mon gland. Mes pieds n'étaient pas totalement dégagés et mon pantalon baissé juste en dessous de mes genoux. Je sentais ses doigts se glisser entre ma queue et mon ventre, puis je sentais mon gland entrer dans sa bouche, sa langue me caressait la queue tournant autour. C'est son visage qui s'écrasait ensuite sur mon ventre. Je lui caressais les cheveux, il poussait encore quelques bruits amusants et c'est moi seul qui gémissait alors.
Alors qu'il avalait ma queue jusqu'à la garde, de ses mains il faisait tomber mes chaussures, mes chaussettes, ça m'amusait, il tirait ensuite sur mon pantalon qu'il repoussait un peu plus loin. Je me retrouvais nu sous ses caresses et ses baisers. Je tremblais de plaisir, de désirs, mais de désirs que moi je pouvais assouvir !
Mon cur battait fort, et ma respiration était rapide et bruyante. Il me lâchait alors, se relevait et face à moi ouvrait son pantalon qu'il laissait tomber sur le sol et se retrouvait enfin nu, ou presque
Quand on porte ce genre de truc, on n'est jamais totalement nu, on est nu
ou presque. Toujours
ou presque ! Et vous pouvez me croire j'en ai fait l'expérience depuis, ce petit ' ou presque ' fait toute la différence.
Avez vous essayé de baigné nu quand vous allez à la plage ? Il y a de nombreuses plage qui le permettent. On peut se dire que finalement avec ce qu'on garde sur nous quand on se fait bronzer, ce tout petit bout de tissus, ça ne doit pas faire grand différence une fois dans l'eau, surtout une fois dans l'eau
Et bien essayez pour voir si vous ne l'avez jamais fait et vous verrez
Ça n'a rien à voir, les sensations, toutes les sensations sont très différentes.
Et bien là c'est pareil ! Presque tout le corps est nu, presque toute la peau est exposée mais on ne se sent pas nu pour autant !
J'admirais son corps, sa peau, la forme élégante de chacun de ses muscles, et le petit dispositif qui tentait de se redresser sous la pression interne. Il bandait , enfin il essayait. Moi je ne me contentais pas d'essayer. Je bandais, ma bite se relevait tellement qu'elle appuyait contre mon ventre. De la main il la soulevait délicatement puis la relâchait. Elle claquait alors en revenant sur mon ventre.
Moi : Tu n'as pas de poil sur ton corps ?
Ludo : Non !
Moi : C'est naturel ?
Ludo : Épilation !
Je souriais, il se laissait tomber sur moi, je le recevais dans mes bras, on s'enlaçait avec autant de douceur que de force.
On se serrait l'un contre l'autre, on roulait l'un sur l'autre, il passait une jambe derrière ma jambe, j'en faisait de même avec mon autre jambe. Ma queue s'écrasait entre nos deux ventres, il écrasait avec une grande douceur mes couilles avec sa cuisse, avec douceur, il ne voulait pas me faire mal. On se serrait tellement l'un contre l'autre, comme si on voulait se mélanger, se fondre l'un dans l'autre. Je sentais son dispositif de chasteté contre moi, contre mon ventre, c'était étrange comme sensation. J'avais l'impression d'un objet étranger, un objet qui gênait. En tous cas c'est pas moi que ça devait gêner le plus. Moi ça mexcitait et je bandais encore plus.
Nos mains parcouraient le corps de l'autre, nos doigts se glissaient dans les endroits les plus intimes de l'autre, il glissait un doigts entre mes fesses, insistait sur mon petit trou du cul. Il lubrifiait son doigt et le glissait sans prévenir dans mon cul, j'aime bien ça moi ! Il y glissait ensuite deux doigts qu'il agitait rapidement contre ma prostate, je me cambrais, je me raidissais, je gémissais, rapidement c'était un plaisir intense qui montait en moi. Il me suçait en même temps.
Quand son visage remontait vers le mien il me chevauchait. Il plaçait ses genoux de chaque côté de mon corps, juste au niveau de la base de mes côtes, en me regardant droit dans les yeux. D'une main il soulevait ma queue qui se contractait encore plus à chaque contacte, plaçait mon gland juste au niveau de son cul puis appuyait .
Je sentais son anus résister, puis je le sentais se détendre et enfin je sentais ma queue se glisser dans ce passage étroit, doux, chaud et humide très humide, il l'avait bien lubrifié. Pour finir je sentais ses fesses appuyer contre mon ventre. Je relevais alors par réflexe mon bassin d'un mouvement rapide et presque violent. Il gémissait, se crispait puis se laissait aller à nouveau. Il balançait alors son bassin d'avant en arrière avec un mouvement rapide, ma queue ne ressortait pas de son cul mais massait sa prostate, déjà il faisait une grimace de plaisir.
Je soulevais mon bassin doucement au début puis rapidement et plus fermement, il se balançait sur mon ventre, ma queue bien enfoncée bien fond de son cul, à chaque mouvement je lui massais la prostate, à chaque mouvement je sentais moi aussi un massage délicieux sur mon gland.
Nos deux souffles se synchronisaient, nos mouvements aussi. Nos bras se caressaient, il se penchait vers moi et me donnait des baisers, je sentais son souffle, il respirait aussi fort que moi. Il gémissait plus fort, de plus en plus fort, il s'était redressé et était maintenant assis de tout son poids sur ma queue, totalement empalé, c'était chaud.
Je sentais un liquide épais qui coulait de sa cage de chasteté, je passais la main, il jutait. Il gémissait, je sentais son cul se contracter fermement, je gémissais aussi, ses genoux se serraient se refermaient contre mes côtes, je tremblais à mon tour, une giclée de sperme giclait de sa cage au moment ou je jouissais dans son cul. Nos deux corps vibraient d'une seule vibration, on se serraient de nouveau l'un contre l'autre, on ne bougeait plus. On échangeait encore quelques baisers, il était replié sur moi, je commençais lentement à débander.
Au bout d'un long moment il se relevait, ma queue ressortait alors de son cul, un peu de mon sperme en coulait, il se laissait tomber à côté de moi. Il respirait fort encore un moment. Plus tard on se relevait, on passait sous la douche, on prenait le temps de se faire encore un petit câlin puis, épuisés nous nous mettions au lit, dans mon lit.
C'était très agréable, pour la première fois de ma vie je m'endormais avec dans les bras une garçon adorable et c'est dans ses bras que je me réveillais. Je me sentais bien, vraiment très bien.
Le lendemain matin de la première nuit on frappait à la porte puis sans attendre la réponse la porte s'ouvrait. Blaise entrait ( c'est un valet de chambre que je connaissais bien aussi ), il poussait un chariot à roulette sur lequel il y avait le petit déjeuner.
Blaise : Bonjour Philippe tu as passé une bonne nuit j'espère, je te laisse ton petit déjeuner sur la table ?
Moi : Salut Blaise ! Ça va toi aujourd'hui ? ( je relevais la tête )
Blaise : Très bien Philippe merci. Si tu n'as besoin de rien je vais apporter son petit déjeuner à ton ami, on m'a dit que c'était Ludovic
Ludovic relevait la tête
Ludo : C'est quoi ? Il se passe quoi ?
Blaise : Ah je vois que vous êtes là aussi Monsieur Ludovic. Si vous le permettez je vais disposer votre petit déjeuner sur la table également alors
Moi : Ce sera parfait.
Blaise nous laissait. Le premier matin Ludovic avait peur que sa présence dans mon lit ne fasse des histoires, que ça ne pose des problèmes. Il était vite rassuré, surtout quand il apprenait que mes deux tontons vivaient ensemble depuis des années, on le disait dans la régions, mais ils étaient mariés aussi
Quoi de plus normal ?
On ne prenait pas la peine de s'habiller pour le petit déjeuner, on partait ensuite faire un petit entraînement dans le parc, ça n'avait rien dexceptionnel pour Ludovic, il était à l'université PK et le sport faisait partie du programme à par entière. Un peu malicieux je ne lui avait pas donné de sous vêtements, juste la tenue de training, j'avais fait de même. Bon, jespérai voir un petit quelque chose se balancer sous le pantalon mais avec son dispositif
on ne voyait rien. J'étais un peu déçu, j'avais voulu lui faire une blague et ça ne marchait pas sauf pour moi, ma queue se balançait et ça se voyait
Je ne suis pas ridicule vous savez j'en ai une belle, mais là je me disais que j'avais un peu exagéré. C'était surtout envers Ludovic que je me disais ça, ici personne ne me faisait la moindre réflexion !
La semaine qui suivait était une semaine de rêve, je ne quittais pas Ludovic, on était toujours ensemble. Je lui offrais son baptême de l'air, j'ai une licence pour piloter des petits avions monomoteur et mes oncles ont plusieurs monomoteurs
Je lui apprenais à conduire un aéroglisseur
On allait passer une journée sur l'île du Robinson
C'est une petite île toute petite à moins d'un kilomètre de notre plage. Il y a une petite maison de trois pièce, on s'envoyait en l'air pendant tout un après midi. On faisait de la moto, de la piscine, on regardait des film. Je ne sais plus si je vous ai dit qu'il y a aussi une salle de projection qui peut recevoir jusqu'à cinquante personnes
Enfin ce qui est bien chez mes tontons, c'est que la maison est grande et qu'on peut faire plein de choses.
Mais les vacances prenaient fin trop vite. Ludovic allait repartir vers sa fac, et moi
J'allais rentrer à la maison, je téléphonais à mon grand père pour savoir un peu comment ça se passait. Il me rassurait en me disant que mon père était totalement calmé, il venait en plus de signer de très gros contrats avec des gouvernements étrangers
Ma mère était aussi intervenue pour le calmer et sa grosse colère contre moi, c'était du passé. Mon tonton Luc me proposait de me ramener à la maison en hélicoptère.Ces nouveau modèles ( que notre société produit ) ne sont pas trop bruyants et ont l'avantage d'être rapide et de se poser n'importe ou. Surtout qu'on a un héliport sur le toit de la maison.
A la maison je pouvais voir que en effet mon père était de très bonne humeur.
Moi : On dirait que tout s'est bien passé pendant mon absence papa ?
Lui : Oui fils, tu peux être fier de ton père, je viens de signer un contrat de plus de deux milliards de DI (Dollars Internationaux), uniquement pour la section électronique de la PK
De plus le dernier bilan annonce que nous devrions être environ à quinze pour cent au dessus de nos estimation initiales
Moi : C'est cool ça !
Mon père : Cool ! C'est tout ce que tu trouves à dire ? Bon j'ai beaucoup réfléchi à toi et tout ce que tu me fait subir.
Moi : Oula il va y avoir un problème !
Mon père : Mais fils ! J'ai donc beaucoup réfléchi, j'ai dit à mon père que j'étais d'accord pour qu'il double ton actuel crédit
Ensuite il m'a dit qu'il faisait livrer ta moto
Parce que tu as une moto toi maintenant ?
( je faisais oui de la tête ) Bon je te permets de l'utiliser quand tu sors de ton interna . Mais tout ça à une condition !
Moi : Tout ce que tu veux papa !
Mon père : Tu me promets de bien te comporter ! J'ai des amis dans la police de la ville ou est ton interna. Je serai au courant de tout et si tu n'est pas sérieux
Je te coupe tes crédits, je tinterdis de sortir de ton interna et je te confisque ta moto ! C'est clair ?
Je faisait oui de la tête en baissant la tête pour paraître plus humble tout en relevant les yeux pour faire dans le genre
Petit gars repenti !
Bon il est pas si méchant que ça mon papa, surtout quand il vient de signer un gros contrat et que le bilan de l'entreprise dépasse ses espérances
Il ne lui faut pas grand chose pour être satisfait finalement, deux petits milliards c'est tout !
Il m'autorisait à me rendre à ma fac en moto, c'est dire comment il était content, je partais la veille deux heures de route avec les pauses. Je ne vous dit pas comment j'étais accueilli par mes camarades, j'avais une super moto, on ne parlait plus que de ça pendant toute la soirée.
Luidji, mon camarade de chambre était déjà là. C'est un jeune de mon âge, il est bien foutu, je l'ai déjà vu sous la douche et je ne vous laisse deviner ce que je ferais bien avec lui. Surtout qu'on dort dans dans la même chambre... Bein oui sinon ce ne serait pas mon camarade chambre, c'est un peu idiot ce que je dis des fois.
Je me suis souvent dit qu'on pourrait gagner de la place si on dormait dans le même lit. Mais bon avec lui je ne sais pas
Je ne sais pas mais je vous jure que ça ne vient pas de moi.
Enfin quoi c'est vrai. Mon papa est à moitié homophobe, et il m'envoie dans une école privée, dans un interna ou il n'y a que des garçons. Il s'imagine quoi ? A notre âge ! On est dopé à la testostérone à dix sept ans ! En plus il y a des douches collectives, des opportunités tous les jours
Je viens d'y goûter et je peux vous garantir que je ne vais pas en rester là !
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